“Peut-on sauver le marketing et la com ? Le doit-on ?”
Le marketing, la communication sont aujourd’hui accusés de complicité dans la dégradation de la planète et d’autres maux de société. Pourtant ces métiers peuvent être clés dans la promotion d’un autre monde. Mais il ne suffira pas d’un petit coup de peinture verte. Une réforme radicale s’impose, sans naïveté ni manipulation, sans complaisance ni faux semblant.
Florence Touzé a été l’une des premières à remettre en cause sa discipline pour la faire évoluer. Elle propose de passer d’un métier sous le feu des critiques à une discipline utile et constructive, d’oublier le marketing commercial de bout de chaîne, pour en faire une pierre angulaire d’implication, un marketing de fondation.
Le marketing implicatif c’est une remise en cause du marketing, de son rôle au sein de l’entreprise. Il bouleverse la pyramide de Maslow, accompagne un consommateur impliqué, construit des contrats de marque exigeants. Il pose les bases de nouveaux liens entre l’entreprise et ses publics.
Quand le marketing obsolète nous précipite dans le consumérisme destructeur, le marketing implicatif propose un cercle vertueux respectable, un métier dont on pourra être fiers.